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Voici Les BraTles, l’incroyable rencontre entre Brassens et les Beatles !

Recette simplissime : vous empruntez une belle mélodie des Fab Four, les paroles à tonton Georges...et paf ! Mélangez, servez. Et voilà le Gorille qui s'acoquine à Help ou que La cane de Jeanne s'entiche de Love me do dans une subtile alchimie.

Les réactions dans les concerts sont toujours sur le même registre. On leur dit : « au départ on cherche à comprendre, après on se laisse porter et enfin on se surprend à chanter ».

De la musique, des beaux textes, un peu de clown, des décors somptueux, des instruments insolites, des musiciens bien habillés et de la gym pour les méninges.

Les Bratles shootent dans les mots, barbotent dans les accords et s’ils prennent quelques libertés, ils gardent toujours le bon équilibre.

C'est toujours la musique des Beatles sur les paroles de Brassens ! La vraie réussite c'est lorsque le texte entier se cale parfaitement à la mélodie et à la structure du morceau. Pour l'interprétation, ils se rapprochent au maximum des harmonies légendaires de Lennon et Mc Cartney. Quant à la musique, imaginez...Tout l'univers du quatuor, recréé avec une guitare acoustique, une Hofner à filet plat (incontournable), une kyrielle d'instruments insolites et un zest d'électrique et de Tom basse. Le tout dans une ambiance burlesque mais très appliquée.

Hugues BARRAULT est au chant et aux percussions en tous genres. Il connaît les Beatles sur le bout des doigts. Les chiens ne faisant point de chat, Wilhem BARRAULT (son fils) est Le bassiste et le gardien du temple rythmique. Multi-instrumentiste, sûrement tombé dans une marmite de croches quand il était petit…Et en plus il chante. Olivier BOUILLARD chante, joue de la guitare, du ukulélé et puis c'est déjà pas mal