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L’Avantage du Doute signe une comédie qui se demande s’il y a un lien entre la crise environnementale et la domination masculine. Cela part alors dans tous les sens, mais cela retombe toujours sur ses pieds. De la réflexion drôle. De l’humour intelligent.

Un gros ours blanc atteint de solastalgie, des femmes fatales dévastées et des déesses inquiétantes, un rôti brûlé, des œufs bio du Limousin et un arc bandé à bloc, une clameur aussi violente qu’harmonieuse, une tempête filiale destructrice, un vieux cinéaste en fauteuil roulant au pied d’une allée de colonnes gréco–romaines, sans oublier la servante à col blanc amidonné. Pourtant, cet assemblage délirant cohabite dans un spectacle cohérent. À l’image de notre monde, il déborde, pille des ressources (intellectuelles dans son cas) sans vergogne et se pose un millier de questions dont les réponses ne sont pas forcément agréables. Et pourtant, on rit, car, comme l’a dit Victor Hugo : « L’éclat de rire est la dernière ressource de la rage et du désespoir ».

«Un spectacle qui fait rire, qui soulage, qui se moque, qui porte une parole engagée et véhicule autant d’autodérision... des tirades à tomber, des «punchlines» mémorables et des numéros d’actrices et d’acteurs remarquables.» Sceneweb

Texte et jeu : Mélanie Bestel, Judith Davis, Claire Dumas, Nadir Legrand, Maxence Tual

Scénographie : Kristelle Paré / Lumières : Mathilde Chamoux / Son : Isabelle Fuchs / Costumes : Marta Rossi / Accompagnement du travail vocal : Jean-Baptiste Veyret-Logerias / Régie générale : Jérôme Perez-Lopez / Presse : Irène Gordon-Brassart

Production - administration - diffusion : Marie Ben Bachir

Production : L’Avantage du Doute

Coproduction : Théâtre de Nîmes, Théâtre de Rungis, Théâtre Jean Vilar – Vitry-sur-Seine, Théâtre de la Bastille - Paris, Le lieu unique – Centre de culture contemporaine de Nantes, Théâtre Nouvelle Génération – CDN de Lyon, L’Estive – Scène nationale de Foix et de l’Ariège.